Kim Novak a fait vibrer le public jeudi 5 février sur la scène mythique de l’Olympia. En effet, le trio caennais faisait la première partie du groupe de rock anglais, The Stranglers, récemment reformé.

Le groupe formé par Jérémie (chanteur et guitariste) en 2004 a connu il y a quelques mois un immense succès lors des Eurockéennes de Belfort, où il a remporté le concours SFR jeunes talent et signé avec le label Talitres Records.

C’est dans un pub parisien que j’ai rencontré, il y a un an, les Kim Novak. J’ai tout de suite été transportée par leur univers musical, leur jeu de scène ainsi que la voix si particulière du chanteur (Jérémie). C’est donc tout naturellement et avec une grande impatience que je me suis précipitée à l’Olympia pour les voir à nouveau et tenter de vous le faire partager.

Il est 20h30, le concert va enfin commencer. La salle est bondée, plusieurs photographes sont présents pour cette première partie. Preuve que les Kim Novak ont déjà une certaine notoriété. Dès les premiers accords, le ton est donné. Leur forte présence scénique, leur rock imprégné des années 70-80 combiné à une tendance electro, ont enthousiasmé le public. Les accords puissants du bassiste (Ugo) et l’énergie communicative du batteur (Nicolas) laissent vite place aux cris et autres applaudissements. Une première partie passée beaucoup trop vite.

Kim Novak, à voir et à revoir en concert ; leur premier album, Luck And Accident, à écouter sans modération...